#Pierre Dux
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L'île Heureuse (1951)
L'Île Heureuse was a theatre play written by Jean-Pierre Aumont who wrote it for María Montez, it was directed and performed by Pierre Dux and María Montez and it was shown for the first time at Edouard VII Theater in Paris on January 24, 1951.
The play was a success, the actors made a well performance and María Montez received very beautiful acclaims from the critics.
This was the first of many theatre performances at théâtre Édouard-VII and then the play travelled to some other French cities always having great acclaim from the public and the critics, this fact made María got real interest in doing more stage plays.
Maria Montez plays the 25-year-old Spanish dancer Carlota Goya.
Very special thanks to @74paris for sharing this program.
#María Montez#Maria Montez#1951 Maria#L'île Heureuse#1951 L'Île Heureuse#Jean Pierre Aumont#Jean Danet#Pierre Dux#Jacques Morel#stage actress#actress#Queen of Technicolor#La Reina del Tecnicolor#collaboraion
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Pierre Dux et Zouc dans Monsieur Abel, téléfilm réalisé par Jacques Doillon en 1983.
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Ils me font peur.




#la comédie française#jacques toja#françois chaumette#françois beaulieu#francis huster#claude winter#genevieve casile#georges descrières#michel duchaussoy#christine fersen#catherine hiegel#pierre dux#jean le poulain#jean paul roussillon
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Trois hommes à abattre/ Three Men to Kill (Jacques Deray, 1980)
Delon made 28 films in the 70s, also producing about half of them, including TROIS HOMMES À ABATTRE, one of his best, and one of his most successful in this period. In his seventh collaboration with director Jacques Deray, Delon plays a professional poker player who drives by what he thinks is a car accident, makes the mistake of playing good Samaritan, and takes the driver to the hospital. That…

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La Lectrice

La Lectrice
Constance reads a novel aloud in bed to her lover. Inspired by the story of Marie, a woman who advertises her services as a reader of literature, she decides to do the same.
An ode to reading. But since I sadly don't speak the language, listening to the reading of classic novels and poetry in French is of limited enjoyment.
What still remains is admiring the art direction of the sets and the pleasant view of Miou-Miou walking through Arles in colourful outfits.
#La Lectrice#Michel Deville#Miou Miou#Christian Ruché#Régis Royer#Brigitte Catillon#Patrick Chesnais#María Casares#Marianne Denicourt#Pierre Dux#foreign#France
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Sur Le Misanthrope : Adaptations
Une première mise en scène, datant de 1977, par Pierre Dux (classique)
Casting : Alceste - Georges Descrières, Oronte - Bernard Dheran, Philinte - Michel Duchaussoy, Dubois - Gérard Caillaud, Clitandre - Philippe Rondest, Acaste - Guy Michel, Arsinoé - Bérangère Dautun, Eliante - Dominique Constanza, Célimène - Béatrice Agenin
Costume tout noir pour Descrières, quelques rubans verts qui garnissent l’épaule ; il sera intéressant de noter comment chaque metteur en scène habille son Alceste. Chose étrange, la vue donnée par les fenêtres de chez Célimène ressemble à une vue d’un jardin de Versailles (carrément pas fait au hasard, on vous fait confiance m’sieur Dux). Ô diction naturelle d’un texte classique, mon amour ! J’ai l’impression d’entendre une vraie conversation, c’est magnifique. Un Alceste déjà bien énervé, dans les starting blocks dès le début (j’aime beaucoup le jeu de Descrières), mais qui a une certaine noblesse, une certaine majesté. Intéressant de voir que le costume de Philinte est le même que celui d’Alceste, mais son opposé complet en termes de couleur (rouge vif). On dirait que ce Philinte est le psy d’Alceste, c’est marrant. Psy un peu ferme, car le petit côté misanthrope de Philinte semble ici plus utilisé pour souligner les excès d’Alceste. Pour l’instant je vois l’amitié Alceste/Philinte like two old queens, c’est jouissif pour moi. Bon excusez-moi, les costumes masculins sont tous les mêmes, juste de couleur différentes et plus ou moins ornés. Un Oronte précieux et pétasse à souhait (excellent Bernard Dheran). Philinte qui donne des petits coups de tête approbateurs quand Alceste réussit l’interaction sociale, my autistic king. Potescore à la lecture du sonnet, vraiment mon moment préféré, eux qui se prennent le bec à voix basse mais dont la resting bitch face ressurgit immédiatement telles les fleurs au printemps. Philinte a l’air constamment atterré par son pote, je trouve ça hilarant. Une Célimène MAGNIFIQUE (Béatrice Agenin, quelle belle femme mon dieu), tout en noir, absolument charmante (et qui n’hésite pas à embrasser Alceste dans sa première apparition pour lui donner une preuve de son amour), très ironique, et médisante pétillante. Alceste l’aime, bon dieu, au début d’un amour grognon mais qui garde une certaine tendresse ; sa colère dans l’Acte III après la “trahison” de Célimène est bouillante, mais en sous-main, pas vraiment de grands éclats de voix, une rage plutôt contenue (malgré un poing qui aurait pu partir). Mais ils s’aiment quand même. La grande folle tout en rose c’est bien sûr Acaste (Guy Michel qui ne ménage aucun ridicule), et son acolyte en jaune poussin, Clitandre, plus soft (très bon Philippe Rondest). Eliante (jolie Dominique Constanza) semble prendre un peu après sa cousine dans le ton, mais reste mimi (par contre, un peu plus d’émotion que diable, à certains moments j’avais l’impression de voir jouer une carpe. Avec tout le respect que je lui dois.). Bérangère Dautun est une Arsinoé très méprisante, la voix posée, j’adore. All by myself joue bien fort dans ma tête à la dernière sortie de notre asocial préféré. Je retiens de cette pièce un Alceste assez désillusionné pour garder un certain calme, qui lui confère une aura noble, mais pas assez pour ne pas s’énerver de temps à autre.
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Deuxième version, de 1959, mise en scène (bien sûr classique) de Jean Kerchbron
Casting : Alceste - Renaud Mary, Philinte - Bernard Dheran, Oronte - Jean Le Poulain, Célimène - Françoise Christophe, Eliante - Evelyne Dandry, Acaste - Jacques Ciron, Clitandre - Alain Feydeau, Arsinoé - Malka Ribovska
Caméra qui est le point de vue d’Alceste ??? Innovative ! Surprise de retrouver l’Oronte de la version de 77 en Philinte. Diction pas très naturelle, pet peeve. Perruque ridicule pour Renaud Mary, mais c’est pas sa faute. Mise en scène hyper minimaliste, je suis surpris (agréablement je le concède). Turbopétasse de Le Poulain en Oronte, parfait. Je suis furieusement bisexuel pour la Célimène de Françoise Christophe, hautaine et au rire méprisant jouissif. Turbopétasses derechef avec Clitandre et Acaste, les années 60 n’étaient-elles donc faites que de cela ? Je suis également furieusement bisexuel pour l’Eliante d’Evelyne Dandry, Philinte je vais te piquer ta femme. Même Arsinoé (Malka Ribovska) est MAGNIFIQUE, un joli filon pour les fans de Molière lesbiennes. Dheran est super en Philinte tout doux, monsieur flirtez avec moi svp pour le 14 février. Une bonne vieille interprétation tout ce qu’il y a de plus classique.
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Troisième version, de 2000, mise en scène de Jean-Pierre Miquel (classico-moderne ?)
Casting : Arsinoé - Alberte Aveline, Oronte - Michel Favory, Eliante - Isabelle Gardien, Alceste - Denis Podalydès, Clitandre - Laurent d’Olce, Célimène - Clotilde de Bayser, Philinte - Laurent Natrella, Acaste - Christian Gonon, Le Garde / Dubois - Guillaume Gallienne
Wow, Podalydès avec les cheveux encore très très bruns. Un tout tout petit ruban vert en guise de collier, c’est un Alceste bien mélancolique, comme Podalydès sait faire ce genre de personnage. Je compare avec une autre version dont je parlerais après celle-ci, je sais, mais j’ai l’impression de voir la mise en scène d’Hervieu-Léger en moins bien, les personnages sont placés pareils et rient même parfois aux mêmes moments…Mais il manque la petite étincelle que donnent Corbery et Génovèse dans l’autre version. Non vraiment Podalydès est hyper calme en début de pièce, c’est très bizarre. Guys pick up the fucking pace, ça a pas l’air naturel ni dans l’esprit de la pièce, qu’est-ce que vous faites ??? Et bordel, Natrella, un peu d’émotion merde, j’ai l’impression de voir un ragondin à qui on a filé un texte et un costume de dentelle. Favory, pareil, le ridicule d’Oronte est où ??? Clotilde de Bayser à vingt ans MADAME je suis à vos genoux. Elle est belle, pétillante, souriante, drôle, bref, ma femme. Aussi, serait-ce un lieu commun de foutre Acaste et Clitandre en jaune poussin et rose pétant ? Alceste se réveille un peu à l’Acte II, merci, on attendait que ça. Un tout petit pitchoune Gallienne. Est-ce que c’est aussi un lieu commun de foutre Alceste enserrant de ses bras la taille de Célimène et poser la tête sur ses genoux ? (ça ne me dérange pas, les hommes désespérés on aime ça ici). Un Alceste bien cheum aussi, dont la déclaration “je voudrais qu’aucun ne vous trouvasses aimable” est assez creepy. Wow, Philinte qui fume (*transpose immédiatement ça avec Génovèse et décède promptement par excès de horniness*). Les costumes deviennent hyper sombres à la fin, pas mal. Et Célimène qui reste seule sur scène avant le tomber de rideau ? (dieu quelle femme magnifiquement belle.). Je me suis quand même assez emmerdé, la mise en scène aurait tellement pu être mieux mise en valeur, et les comédiens étaient pas trop au rendez-vous…
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Quatrième et dernière version, de 2019, mise en scène de Clément Hervieu-Léger (une moderne, pour changer)
Casting : Alceste - Loïc Corbery, Philinte - Eric Génovèse, Célimène - Adeline d’Hermy, Eliante - Jennifer Decker (mais j’ai aussi vu Claire de La Rue du Caën), Oronte - Serge Bagdassarian, Arsinoé - Florence Viala, Acaste - Christophe Montenez (mais j’ai aussi vu Clément Hervieu-Léger), Clitandre - Pierre Hancisse (mais j’ai aussi vu Birane Ba), Dubois - Gilles David (mais j’ai aussi vu Christian Gonon)
Comme d’hab je vous ai réservé ma version favorite pour la fin et…j’adore cette mise en scène. Depuis je fais totalement confiance à Hervieu-Léger en matière de direction artistique. Transposée dans un salon d’un appartement haussmannien en emménagement, la pièce reprend un peu de vigueur avec une mise en scène plus contemporaine. Des jeux de lumière, de musique de fond contribuent �� l’ambiance et surtout rappellent que la pièce se déroule sur une journée. Mais ce sont d’abord les acteurs qui donnent un nouvel éclairage. C’est la seule fois jusqu’ici où j’ai vu la misanthropie d’Alceste traitée comme une véritable maladie, qui lui fait autant de mal qu’il en fait aux autres. C’est Loïc Corbery (pour moi, un des meilleurs acteurs de sa génération) qui porte cet Alceste blessé, à l’aura de chat mouillé, qui alterne périodes de calme ressentiment avec des explosions de colère stupéfiantes. Je compare avec la reprise de la pièce en 2023 (que j’ai vue hihihi), il a rendu son personnage plus calme par endroits, mais cela fait ressortir toute la violence de ses éclats. Philinte est campé par Eric Génovèse qui donne une douceur indicible à ce personnage ; qui garde cependant une bonne couche de rire devant Alceste et son ridicule, sans pour autant cesser d’agir comme un véritable ami (des petites attentions, l’aide à l’interaction sociale, sa présence presque constante auprès de lui, son inquiétude pour lui, la scène du câlin…LA SCÈNE DU CÂLIN PUTAIN), sans oublier la petite touche de misanthropie inhérente au personnage (et qui le rend complexe). Mention reprise 2023 : il est plus abrasif, plus triste peut-être, plus misanthrope, mais ça relève encore plus les moments de douceur. Célimène (Adeline d’Hermy je vous AIME) est si belle, si pleine de vie, et amoureuse en plus…Le duo qu’elle forme avec Corbery (bouleversants dans l’Acte III) permet de nous rappeler en nous mettant un gros coup de couteau dans le cœur que leur amour restera impossible. Eliante est choupinette outre commune mesure, Philinte sans déconner un jour je vais te piquer ta femme (ou eux deux ? vive la bisexualité). Serge Bagdassarian est un Oronte jouissif par l’interprétation typique et personnelle qu’il donne de ce personnage ; même chose pour Florence Viala en Arsinoé particulièrement âpre ; Acaste et Clitandre, peu importe les interprètes, sont parfaits et confinent aux petits-maîtres quelquefois (même si Hervieu-Léger en Acaste a été la plus pétasse to have ever pétassed). Si les moments de comédie sont là, on oublie surtout pas de nous rappeler que c’est aussi une tragédie, et la fin de la pièce est tellement douce amère…Enfin bref, je pourrais passer des heures à parler de cette mise en scène là, mais mon compte principal est un assez vibrant témoin de mon admiration pour celle-ci.
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Charles Denner and Yves Montand in Z (Costa-Gavras, 1969)
Cast: Jean-Louis Trintignant, Yves Montand, Irene Papas, Pierre Dux, Jacques Perrin, Charles Denner, François Périer, Georges Géret, Bernard Fresson, Marcel Bozzuffi, Julien Guiomar, Magali Noël. Screenplay: Jorge Semprún, based on a novel by Vassiliis Vassilikos. Cinematography: Raoul Coutard. Production design: Jacques D’Ovidio. Film editing: Françoise Bonnot. Music: Mikis Theodorakis.
Costa-Gavras's great political thriller, Z, was an unsettling film to watch in 1969, the year after Robert Kennedy and Martin Luther King Jr. were assassinated, the police clashed with demonstrators at the Democratic convention in Chicago, and Richard Nixon was elected president. What makes it unsettling in today's political climate is the way the film shows the destructive collaboration of ideologues, buffoons, and thugs. It's an often grimly funny movie, particularly in the portrayal of the general in charge of the police, who as played by Pierre Dux is both ideologue and buffoon. There is buffoonery also among the thugs, and Costa-Gavras has fun mocking the conspirators who, once they angrily leave the room in which they've been indicted, each try to open a locked door. But we mock them in vain. For while the efforts of the prosecutor played beautifully by Jean-Louis Trintignant are heroic and Costa-Gavras and screenwriter Jorge Semprún make us expect justice to prevail, it doesn't. The story is that of the assassination of Greek opposition politician Grigoris Lambrakis in 1963 and the subsequent investigation that brought a glimmer of hope to the country only to be squelched by the military coup of 1967. However, the film is set in no specific country -- it was filmed in Algeria -- and only an opening "disclaimer" that parodies the usual assertion about any resemblance to persons living or dead dares to say that the resemblances in the film are entirely intentional. Costa-Gavras and Semprún were political exiles from, respectively, Greece and Spain. The composer Mikis Theodorakis had been arrested and his music was banned in Greece; he gave Costa-Gavras permission to use existing compositions for the film score. But the decision to set the film in no particular place only strengthened its ability to reach out and make its story meaningful beyond a specific place and time. Although Yves Montand and Irene Papas get top billing as the assassinated politician and his wife, Montand's role is comparatively small and Papas's is virtually a cameo. The movie is mostly carried by Trintignant and by Jacques Perrin, one of its producers who also plays a very aggressive investigative journalist, and a capable supporting cast. It won Oscars as the best foreign-language film and for Françoise Bonnot's film editing. It was also nominated in the best picture category, and picked up nominations for best director and best adapted screenplay, but lost in those categories to Midnight Cowboy and its director, John Schlesinger, and screenwriter, Waldo Salt.
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#ElEscenarioDelMundo
🎭 Teatro: “OTELO” 👻💔😥
✍️ Dramaturgia: William Shakespeare (Reino Unido)
🗯 Argumento: Historia del valiente General Otelo, éxitos militares, victorias y su idílica historia de amor con la bella Desdemona, pero su felicidad suscita la envidia y el rumor sobre la infidelidad de su esposa inoculada por el astuto y malvado Yago. La puesta en escena nos presenta una obra sobre los celos, la locura y la venganza a través de una propuesta monumental y arriesgada, bajo una mirada actual que pone énfasis en trascendentales temas como la violencia, impunidad y el feminicidio.
👥 Elenco: Maria Grazia Gamarra (Desdémona), Fernando Luque (Yago), Oscar
Yepez (Casio), Andrea Alvarado (Emilia), Alonso Cano (Brabancio/Ludovico), Alejandro Tagle (Rodrigo) y Martín Aliaga (Dux/Montano)
👗Escenografía y vestuario: Lorenzo Albani (Italia)
📢 Dirección:Jean Pierre Gamarra
© Producción: Éxodo Teatro
▶️Vídeo Promocional: https://youtu.be/hWiDjDfkhUg


📌 Temporada: Del 01 al 17 de Marzo
📆 Funciones: Jueves, viernes y sábado 🕗 8:00pm. / Domingos 🕖 7:00pm.
🏛 Teatro Municipal de Lima (jirón Ica 377 – Lima)
🎫 Entradas:
🎟 Cazuela: S/.25
🎟️ Galería: S/.35
🎫 Platea: S/.50
🖱 Reservas en Joinnus: https://www.joinnus.com/events/theater/lima-otelo-temporada-2024-59285

👪 A tener en cuenta: Obra dirigida a público mayor de doce años en compañía de un adulto.
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The Pleasure of Love (1991) dir. Nelly Kaplan
Cinematography by Jean-François Robin
Starring Pierre Arditi, Françoise Fabian, Pierre Dux, Dominique Blanc, Cécile Sanz de Alba, and Heinz Bennent
#The Pleasure of Love#Nelly Kaplan#Jean-François Robin#Pierre Arditi#Françoise Fabian#Pierre Dux#Dominique Blanc#Cécile Sanz de Alba#Heinz Bennent#cinematography#cinema#french films#French movies#french fim#90s movies#period piece#period pieces#1991
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Z
directed by Costa-Gravas, 1969
#Z#Costa-Gravas#movie mosaics#Yves Montand#Pierre Dux#Jean-Louis Trintignant#François Périer#Gérard Darrieu#Jacques Perrin#Maurice Baquet#Charles Denner#Irene Papas#Marcel Bozzuffi
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L'Île Heureuse was a theatre play written by Jean-Pierre Aumont who wrote it for María Montez, it was directed and performed by Pierre Dux and María Montez and it was shown for the first time at Edouard VII Theater in Paris on January 24, 1951.
Here in these photos we can see María Montez with actor Jean Danet (first photo) and with Robert Murzeau (third photo) in two moments of the play.
The play was a success and in the audience there were poet Jean Cocteau (who was a friend of the family and wrote the poem "Nuit Aux Étoiles" for baby Tina Aumont when she was born) and María Montez sisters among others.

Some of the photos come from French magazine "Cinemonde" number 861 from February 1951.


And here we can see two tender photos taken once the play was finished, everybody was really happy cause the actors made a well performance and María Montez received very beautiful acclaims from the critics.
Here she is pictured with hubby Jean-Pierre Aumont and with her beautiful sisters (L-R): Adita, Teresita and Lucita, sitting is the star: María Montez.
Very special thanks to @74paris for sending me this beautiful article and the photos. María Montez would have been as well a great theatre actress, but destiny had other plans for her...
#María Montez#Maria Montez#1951 Teresita#Jean Pierre Aumont#Jean Cocteau#Teresita Montez#Montez family#Adita Gracia Vidal#Lucita Gracia Vidal#L'Île Heureuse#Jean Danet#Robert Murzeau#Cinemonde#1951 Cinemonde#collaboration#1951 Lucita#1951 Adita#1951 Maria#1951 L'Île Heureuse#actress
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Zouc et Pierre Dux dans Monsieur Abel téléfilm réalisé par Jacques Doillon en 1983.
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norpois et mercaillon dans au service de la france c’est juste pierre dux
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Z (1969) Director - Costa-Gavras, Cinematography - Raoul Coutard "We serve the people and the people require the truth."
#scenesandscreens#z#costa gavras#Raoul Coutard#irene papas#Yves Montand#Jean-Louis Trintignant#François Périer#charles denner#Jacques Perrin#Pierre Dux#Marcel Bozzuffi#Renato Salvatori
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